Je vais je viens en courant d’air
Je veux circuler selon mon humeur
Force deux en brise légère
Pour vous apporter un peu de douceur
Je suis le vent même contraire
Je suis l’opposé de toute rigueur
Et lorsque je suis en colère
Je vais m’essouffler c’est une question d’heure
Dans l’air du temps je me promène
En soulevant des bouquets de pollen
Qu’on offre en souriant à ceux qu’on aime
Je vais je viens en sifflotant
Je veux m’annoncer devant vos maisons
Et de l’automne jusqu’au printemps
Je vais vous chanter les quatre saisons
Je suis le vent même violent
Je dois bien montrer mon indignation
Car je sais que de temps en temps
Seuls vous vous ventez sans ma permission
Dans l’air du temps je me promène
En soulevant des bouquets de pollen
Qu’on offre en souriant à ceux qu’on aime
Dans l’air du temps je me promène
Et lentement les flocons que je sème
Vous feront un manteau blanc pour des semaines
Je vais je viens en diapason
Je veux m’accorder à tous vos usages
Si je vous effleure de frissons
C’est pour vous laisser trace de mon passage
Je suis le vent c’est ma passion
Pour que vous m’aimiez je vous envisage
Je n’ai pour unique intention
Que de vous souffler ici mes hommages
Dans l’air du temps je me promène
En soulevant des bouquets de pollen
Qu’on offre en souriant à ceux qu’on aime
Dans l’air du temps je me promène
Et lentement les flocons que je sème
Vous feront un manteau blanc pour des semaines
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
Je vais je viens en courant d’air
Je veux circuler selon mon humeur
Force deux en brise légère
Pour vous apporter un peu de douceur
Je suis le vent même contraire
Je suis l’opposé de toute rigueur
Et lorsque je suis en colère
Je vais m’essouffler c’est une question d’heure
Dans l’air du temps je me promène
En soulevant des bouquets de pollen
Qu’on offre en souriant à ceux qu’on aime
Je vais je viens en sifflotant
Je veux m’annoncer devant vos maisons
Et de l’automne jusqu’au printemps
Je vais vous chanter les quatre saisons
Je suis le vent même violent
Je dois bien montrer mon indignation
Car je sais que de temps en temps
Seuls vous vous ventez sans ma permission
Dans l’air du temps je me promène
En soulevant des bouquets de pollen
Qu’on offre en souriant à ceux qu’on aime
Dans l’air du temps je me promène
Et lentement les flocons que je sème
Vous feront un manteau blanc pour des semaines
Je vais je viens en diapason
Je veux m’accorder à tous vos usages
Si je vous effleure de frissons
C’est pour vous laisser trace de mon passage
Je suis le vent c’est ma passion
Pour que vous m’aimiez je vous envisage
Je n’ai pour unique intention
Que de vous souffler ici mes hommages
Dans l’air du temps je me promène
En soulevant des bouquets de pollen
Qu’on offre en souriant à ceux qu’on aime
Dans l’air du temps je me promène
Et lentement les flocons que je sème
Vous feront un manteau blanc pour des semaines
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
À quelques pas de ma vie à vingt ans de ma rue
Mon amour s’était enfui quand nous deux je ne pouvais plus
Il a souffert mais depuis a souri à tant d’inconnu(e)s
Sans le savoir il a pris mon coeur au dépourvu
Les cicatrices sur les murs marquent chaque jour d’une croix
Miroir oh miroir d’injures lorsque je suis en face de moi
Alors je rêve bien sûr la nuit froissé(e) sous mes draps
J’entends encore le murmure de nos rires de nos ébats
Il est des silences que l’on voudrait faire taire
D’appels en absence en bouteilles à la mer
Il est un amour au silence amer
Que j’espère le jour et la nuit désespère
Il est des regards plus intenses qu’une vie
Où toute l’histoire se nourrit de non-dits
Il est un amour au regard serti
De diamants de velours dans mes yeux éblouis
À quelques pas d’aujourd’hui quand je ne l’attendais plus
Mon bel amour a surgi de l’autre côté de la rue
C’est alors que j’ai compris dans nos yeux confondus
Que son coeur était aussi sans dessous dessus
J’ai recouvert tous les murs avec le son de sa voix
Mais le miroir qui jure me jure qu’il est trop tard pour ça
Alors je rêve bien sûr la nuit froissé(e) sous mes draps
J’entends toujours le murmure de nos rires de nos ébats
Il est des silences que l’on voudrait faire taire
D’appels en absence en bouteilles à la mer
Il est un amour au silence amer
Que j’espère le jour et la nuit désespère
Il est des regards plus intenses qu’une vie
Où toute l’histoire se nourrit de non-dits
Il est un amour au regard serti
De diamants de velours dans mes yeux éblouis
Tes silences mon amour plus bruyants que mes cris
Assourdissent mes jours et blanchissent mes nuits
Je garde en moi pour toujours ton regard serti
De diamants de velours dans mes yeux éblouis
Je garde en moi mon amour
Ton regard serti
De diamants de velours
Dans mes yeux repentis
(Auteur : Jean Blaise)
À quelques pas de ma vie à vingt ans de ma rue
Mon amour s’était enfui quand nous deux je ne pouvais plus
Il a souffert mais depuis a souri à tant d’inconnu(e)s
Sans le savoir il a pris mon coeur au dépourvu
Les cicatrices sur les murs marquent chaque jour d’une croix
Miroir oh miroir d’injures lorsque je suis en face de moi
Alors je rêve bien sûr la nuit froissé(e) sous mes draps
J’entends encore le murmure de nos rires de nos ébats
Il est des silences que l’on voudrait faire taire
D’appels en absence en bouteilles à la mer
Il est un amour au silence amer
Que j’espère le jour et la nuit désespère
Il est des regards plus intenses qu’une vie
Où toute l’histoire se nourrit de non-dits
Il est un amour au regard serti
De diamants de velours dans mes yeux éblouis
À quelques pas d’aujourd’hui quand je ne l’attendais plus
Mon bel amour a surgi de l’autre côté de la rue
C’est alors que j’ai compris dans nos yeux confondus
Que son coeur était aussi sans dessous dessus
J’ai recouvert tous les murs avec le son de sa voix
Mais le miroir qui jure me jure qu’il est trop tard pour ça
Alors je rêve bien sûr la nuit froissé(e) sous mes draps
J’entends toujours le murmure de nos rires de nos ébats
Il est des silences que l’on voudrait faire taire
D’appels en absence en bouteilles à la mer
Il est un amour au silence amer
Que j’espère le jour et la nuit désespère
Il est des regards plus intenses qu’une vie
Où toute l’histoire se nourrit de non-dits
Il est un amour au regard serti
De diamants de velours dans mes yeux éblouis
Tes silences mon amour plus bruyants que mes cris
Assourdissent mes jours et blanchissent mes nuits
Je garde en moi pour toujours ton regard serti
De diamants de velours dans mes yeux éblouis
Je garde en moi mon amour
Ton regard serti
De diamants de velours
Dans mes yeux repentis
(Auteur : Jean Blaise)
Est-ce le jour ou la nuit mais quel est cet instant
Sommes-nous un lundi ou un printemps
Suis-je là-bas ou ici et y suis-je vraiment
Je ne sais pas où est qui et qui m’attend
Moi je vis ma vie en décalé
Je n’ai que des avis partagés
Est-il vrai qu’aujourd’hui est un nouveau présent
Aurai-je un préavis pour tuer le temps
Je ne connais ni autrui ni même les autres gens
Ils m’ont mis à l’abri des passants
Moi je vis ma vie sans protocole
Je n’ai que des habits de camisole
Je tourne en rond pour joindre les deux bouts
Je prends la pose et mes jambes à mon cou
Je fais mon lit et puis je dors debout
Je fais au roi échec à tous les coups
Tout se construit tout sens dessus dessous
Tout ce que je suis est ici dans mon igloo
Est-ce que je me souviens du temps qui passera
Pourquoi le matin ne se coucherait-il pas
Est-il vrai qu’à deux mains on peut faire de grands pas
Et que si tout n’est rien tout est à soi
Moi je vis ma vie en décalé
Je n’ai que des avis partagés
Je tourne en rond pour joindre les deux bouts
Je prends la pose et mes jambes à mon cou
Je fais mon lit et puis je dors debout
Je fais au roi échec à tous les coups
Tout se construit tout sens dessus dessous
Tout ce que je suis est ici dans mon igloo
Il fait si froid dans mon igloo que dans ma tête il fait si flou
Je devrais prendre rendez-vous
Avant qu’ils ne me prennent pour un fou
Est-ce le jour ou la nuit mais quel est cet instant
Je suis à la merci des hommes en blanc
Moi je vis ma vie sans protocole
Je n’ai que des habits de camisole
Je tourne en rond pour joindre les deux bouts
Je prends la pose et mes jambes à mon cou
Je fais mon lit et puis je dors debout
Je fais au roi échec à tous les coups
Tout se construit tout sens dessus dessous
Tout ce que je suis est ici dans mon igloo
Dans mon igloo il fait si flou
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
Il fait si flou
Est-ce le jour ou la nuit mais quel est cet instant
Sommes-nous un lundi ou un printemps
Suis-je là-bas ou ici et y suis-je vraiment
Je ne sais pas où est qui et qui m’attend
Moi je vis ma vie en décalé
Je n’ai que des avis partagés
Est-il vrai qu’aujourd’hui est un nouveau présent
Aurai-je un préavis pour tuer le temps
Je ne connais ni autrui ni même les autres gens
Ils m’ont mis à l’abri des passants
Moi je vis ma vie sans protocole
Je n’ai que des habits de camisole
Je tourne en rond pour joindre les deux bouts
Je prends la pose et mes jambes à mon cou
Je fais mon lit et puis je dors debout
Je fais au roi échec à tous les coups
Tout se construit tout sens dessus dessous
Tout ce que je suis est ici dans mon igloo
Est-ce que je me souviens du temps qui passera
Pourquoi le matin ne se coucherait-il pas
Est-il vrai qu’à deux mains on peut faire de grands pas
Et que si tout n’est rien tout est à soi
Moi je vis ma vie en décalé
Je n’ai que des avis partagés
Je tourne en rond pour joindre les deux bouts
Je prends la pose et mes jambes à mon cou
Je fais mon lit et puis je dors debout
Je fais au roi échec à tous les coups
Tout se construit tout sens dessus dessous
Tout ce que je suis est ici dans mon igloo
Il fait si froid dans mon igloo que dans ma tête il fait si flou
Je devrais prendre rendez-vous
Avant qu’ils ne me prennent pour un fou
Est-ce le jour ou la nuit mais quel est cet instant
Je suis à la merci des hommes en blanc
Moi je vis ma vie sans protocole
Je n’ai que des habits de camisole
Je tourne en rond pour joindre les deux bouts
Je prends la pose et mes jambes à mon cou
Je fais mon lit et puis je dors debout
Je fais au roi échec à tous les coups
Tout se construit tout sens dessus dessous
Tout ce que je suis est ici dans mon igloo
Dans mon igloo il fait si flou
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
Il fait si flou
Toi qui as fait de moi une grande personne
Tu me demandes comment devenir un homme
Toi qui as fait de moi une grande personne
Tu me demandes comment devenir un homme
S’il faut laisser au temps le temps qu’il nous en donne
Ou l’enfermer dans une montre qui sonne
Tu auras les plus belles heures si tu veux
Si tu te perds dans un retard alors avance un peu
Tu me demandes comment un oiseau migrateur
Fait-il pour trouver toujours un jour meilleur
Et comment une étoile dans un téléviseur
Fait-elle pour filer et nous porter bonheur
Tu iras jusqu’au bout de tes rêves si tu veux
Si tu te perds dans un hasard alors prends-toi au jeu
Marche à découvert le coeur à bout portant
Pour te tirer d’affaire, sois la cible des gens
Marche à découvert strip-tease tes sentiments
Sois comme un livre ouvert sans en faire un roman
Tu me demandes si l’amour est une femme
Sinon pourquoi est-ce qu’on en fait tout un drame
Tu me demandes qui des yeux ou bien de l’âme
Se brûlera en déclarant sa flamme
Tu vivras de grandes histoires si tu veux
Si tu te perds dans un regard alors tu verras mieux
Marche à découvert le cœur à bout portant
Pour te tirer d’affaire sois la cible des gens
Marche à découvert strip-tease tes sentiments
Sois comme un livre ouvert sans en faire un roman
Marche à découvert sur les sables mouvants
Et fais de l’éphémère tout un infiniment
Marche à découvert sur les marches du temps
Tu trouveras tes repères dans les yeux d’un enfant
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
Toi qui as fait de moi une grande personne
Tu me demandes comment devenir un homme
Toi qui as fait de moi une grande personne
Tu me demandes comment devenir un homme
S’il faut laisser au temps le temps qu’il nous en donne
Ou l’enfermer dans une montre qui sonne
Tu auras les plus belles heures si tu veux
Si tu te perds dans un retard alors avance un peu
Tu me demandes comment un oiseau migrateur
Fait-il pour trouver toujours un jour meilleur
Et comment une étoile dans un téléviseur
Fait-elle pour filer et nous porter bonheur
Tu iras jusqu’au bout de tes rêves si tu veux
Si tu te perds dans un hasard alors prends-toi au jeu
Marche à découvert le coeur à bout portant
Pour te tirer d’affaire, sois la cible des gens
Marche à découvert strip-tease tes sentiments
Sois comme un livre ouvert sans en faire un roman
Tu me demandes si l’amour est une femme
Sinon pourquoi est-ce qu’on en fait tout un drame
Tu me demandes qui des yeux ou bien de l’âme
Se brûlera en déclarant sa flamme
Tu vivras de grandes histoires si tu veux
Si tu te perds dans un regard alors tu verras mieux
Marche à découvert le cœur à bout portant
Pour te tirer d’affaire sois la cible des gens
Marche à découvert strip-tease tes sentiments
Sois comme un livre ouvert sans en faire un roman
Marche à découvert sur les sables mouvants
Et fais de l’éphémère tout un infiniment
Marche à découvert sur les marches du temps
Tu trouveras tes repères dans les yeux d’un enfant
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
À midi la cigale est encore au lit
Fatiguée de chanter toutes les nuits
À minuit la fourmi rêve d’insomnies
Pour aller travailler sans merci
La Fontaine n’en finit pas d’exister
La fourmi court toujours la cigale encore arrêtée
Et le corbeau sur un arbre perché
Les voit vivre chacune de leur côté
Midi minuit pile ou face on parie
Qu’on me dira quelle heure je suis
Midi minuit je préfère la demie
Moitié cigale moitié fourmi
À midi la fourmi est en appétit
On la voit partout dans son complet gris
À minuit la cigale joue pour ses amis
Et elle crie le jour n’est pas fini
La Fontaine n’est vraiment pas démodé
La cigale sort toujours la fourmi bien trop occupée
Le renard dit d’un air désabusé
Qu’elles sont communes dans leur communauté
Midi minuit pile ou face on parie
Qu’on me dira quelle heure je suis
Midi minuit je préfère la demie
Moitié cigale moitié fourmi
Midi minuit
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Lilas Hymbert)
À midi la cigale est encore au lit
Fatiguée de chanter toutes les nuits
À minuit la fourmi rêve d’insomnies
Pour aller travailler sans merci
La Fontaine n’en finit pas d’exister
La fourmi court toujours la cigale encore arrêtée
Et le corbeau sur un arbre perché
Les voit vivre chacune de leur côté
Midi minuit pile ou face on parie
Qu’on me dira quelle heure je suis
Midi minuit je préfère la demie
Moitié cigale moitié fourmi
À midi la fourmi est en appétit
On la voit partout dans son complet gris
À minuit la cigale joue pour ses amis
Et elle crie le jour n’est pas fini
La Fontaine n’est vraiment pas démodé
La cigale sort toujours la fourmi bien trop occupée
Le renard dit d’un air désabusé
Qu’elles sont communes dans leur communauté
Midi minuit pile ou face on parie
Qu’on me dira quelle heure je suis
Midi minuit je préfère la demie
Moitié cigale moitié fourmi
Midi minuit
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Lilas Hymbert)
70 days on this railway station
70 jours sur ce quai de gare
With my little luggage
Avec mes petits bagages
And my kids dreams
Et mes rêves d’enfant
I may have a problem with this society
Je crois bien avoir un problème avec cette société
Maybe she as one with me
Ou elle en a un avec moi
And like a lone wolf in a wild forest
Et comme un loup solitaire dans une forêt sauvage
I howl with loneliness
Je hurle de solitude
Because she told me that she will never leave
Elle m’a promis qu’elle ne me quitterait jamais
But she left me like all the others did
Mais elle l’a fait comme tous les autres
And I stay here
Et je reste ici
On this dammed station warf with these dammed dreams
Dans cette gare maudite avec ces fichus rêves
Stay here
Reste ici
Where people meet but they always leave
Où les gens se rencontrent mais finissent toujours par se quitter
And I promise you won’t give me up
Et je te fais promettre de ne jamais me quitter
Cause all the time
Et c’est ainsi
When you grow up in a town
Quand tu grandis dans une ville
People are only traveling
Où les gens voyagent
Just like my mind
Comme mon esprit
And like a monster in a Lock ness
Et comme le monstre du Lock ness
I stay at the deepest
Je reste dans les profondeurs
They told me they would be there
Ils me disaient qu’ils seraient toujours là
But I am not longer there
Mais je ne le suis plus
But I stay here
Mais je reste ici
On this dammed station warf with these dammed dreams
Dans cette gare maudite avec ces fichus rêves
Stay here
Reste ici
Where people meet but they always leave
Où les gens se rencontrent mais finissent toujours par se quitter
70 days on this raiway station
70 jours sur ce quai de gare
With all these regrets
Avec tous ces regrets
And my childhood fear
Et mes rêves d’enfant
And all my life I’ve been waiting my train
Et toute ma vie j’ai attendu mon train
To go live my biggest dream
Pour faire de ma vie mon plus grand rêve
I am paralyzed in front of them
Je suis paralysé(e) devant eux
When I think of you and me
Quand je pense à toi et moi
I may have a social anxiety [freakt with anxiety]
J’ai sûrement une anxiété sociale
Or it’s because of you and me
Ou est-ce à cause de toi et moi
But I stay here
Mais je reste ici
On this dammed station warf [platform] with these dammed dreams
Dans cette gare maudite avec ces fichus rêves
Stay here
Reste ici
Where people meet but they always leave
Où les gens se rencontrent mais finissent toujours par se quitter
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
70 days on this railway station
70 jours sur ce quai de gare
With my little luggage
Avec mes petits bagages
And my kids dreams
Et mes rêves d’enfant
I may have a problem with this society
Je crois bien avoir un problème avec cette société
Maybe she as one with me
Ou elle en a un avec moi
And like a lone wolf in a wild forest
Et comme un loup solitaire dans une forêt sauvage
I howl with loneliness
Je hurle de solitude
Because she told me that she will never leave
Elle m’a promis qu’elle ne me quitterait jamais
But she left me like all the others did
Mais elle l’a fait comme tous les autres
And I stay here
Et je reste ici
On this dammed station warf with these dammed dreams
Dans cette gare maudite avec ces fichus rêves
Stay here
Reste ici
Where people meet but they always leave
Où les gens se rencontrent mais finissent toujours par se quitter
And I promise you won’t give me up
Et je te fais promettre de ne jamais me quitter
Cause all the time
Et c’est ainsi
When you grow up in a town
Quand tu grandis dans une ville
People are only traveling
Où les gens voyagent
Just like my mind
Comme mon esprit
And like a monster in a Lock ness
Et comme le monstre du Lock ness
I stay at the deepest
Je reste dans les profondeurs
They told me they would be there
Ils me disaient qu’ils seraient toujours là
But I am not longer there
Mais je ne le suis plus
But I stay here
Mais je reste ici
On this dammed station warf with these dammed dreams
Dans cette gare maudite avec ces fichus rêves
Stay here
Reste ici
Where people meet but they always leave
Où les gens se rencontrent mais finissent toujours par se quitter
70 days on this raiway station
70 jours sur ce quai de gare
With all these regrets
Avec tous ces regrets
And my childhood fear
Et mes rêves d’enfant
And all my life I’ve been waiting my train
Et toute ma vie j’ai attendu mon train
To go live my biggest dream
Pour faire de ma vie mon plus grand rêve
I am paralyzed in front of them
Je suis paralysé(e) devant eux
When I think of you and me
Quand je pense à toi et moi
I may have a social anxiety [freakt with anxiety]
J’ai sûrement une anxiété sociale
Or it’s because of you and me
Ou est-ce à cause de toi et moi
But I stay here
Mais je reste ici
On this dammed station warf [platform] with these dammed dreams
Dans cette gare maudite avec ces fichus rêves
Stay here
Reste ici
Where people meet but they always leave
Où les gens se rencontrent mais finissent toujours par se quitter
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
J’ouvre le livre de la vie
C’est fou comme il me paraît grand
Il y a des images aussi
Pour illustrer les sentiments
Sans même comprendre la pratique
Je reconnais les personnages
Même ceux écrits en italique
Ceux aux cent masques et sans visage
Et je prends des marque-pages partout
Pour ne pas oublier
Je prépare mes rendez-vous
Pour ne pas les manquer
Je tourne la page je découvre et je lis
Chaque passage de ma vie
Dans le livre, première page, premiers écrits, première photo
Cette fille qui vient de fermer le sien presque aussitôt
Au beau milieu du récit quand je me lasse de l’histoire
Une femme et enfant rient et enfin je n’ai plus peur du noir
Et je mets des marque-pages partout
Pour ne plus oublier
J’attends tous mes rendez-vous
Pour ne plus les manquer
Je retourne les pages et pour comprendre je relie
Chaque passage de ma vie
On ne l’a pas assez vu grandir
Mais on ne peut pas le retenir
Il ne part pas juste pour partir
Notre enfant part pour devenir
Page après page bien trop vite le livre s’effeuille
C’est vrai que cet ouvrage se lit en un clin d’oeil
Alors quand il sera fini la bibliothécaire
Encore les jours de pluie le cherchera sous la poussière
Elle verra des marque-pages partout
Tout ce qui a compté
Mes plus beaux rendez-vous
Et mes actes manqués
Elle détournera les pages pour défendre elle aussi
Chaque passage de ma vie
Son livre aussi se fermera à court d’encre et de caractère
L’épilogue dit qu’on le placera tout près du mien sur l’étagère
Nos marque-pages pour paginer notre enfant écrit son bouquin
Histoire de nous dédicacer un petit livre et un parchemin
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Doryan Blaise / Doryan Blaise)
J’ouvre le livre de la vie
C’est fou comme il me paraît grand
Il y a des images aussi
Pour illustrer les sentiments
Sans même comprendre la pratique
Je reconnais les personnages
Même ceux écrits en italique
Ceux aux cent masques et sans visage
Et je prends des marque-pages partout
Pour ne pas oublier
Je prépare mes rendez-vous
Pour ne pas les manquer
Je tourne la page je découvre et je lis
Chaque passage de ma vie
Dans le livre, première page, premiers écrits, première photo
Cette fille qui vient de fermer le sien presque aussitôt
Au beau milieu du récit quand je me lasse de l’histoire
Une femme et enfant rient et enfin je n’ai plus peur du noir
Et je mets des marque-pages partout
Pour ne plus oublier
J’attends tous mes rendez-vous
Pour ne plus les manquer
Je retourne les pages et pour comprendre je relie
Chaque passage de ma vie
On ne l’a pas assez vu grandir
Mais on ne peut pas le retenir
Il ne part pas juste pour partir
Notre enfant part pour devenir
Page après page bien trop vite le livre s’effeuille
C’est vrai que cet ouvrage se lit en un clin d’oeil
Alors quand il sera fini la bibliothécaire
Encore les jours de pluie le cherchera sous la poussière
Elle verra des marque-pages partout
Tout ce qui a compté
Mes plus beaux rendez-vous
Et mes actes manqués
Elle détournera les pages pour défendre elle aussi
Chaque passage de ma vie
Son livre aussi se fermera à court d’encre et de caractère
L’épilogue dit qu’on le placera tout près du mien sur l’étagère
Nos marque-pages pour paginer notre enfant écrit son bouquin
Histoire de nous dédicacer un petit livre et un parchemin
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Doryan Blaise / Doryan Blaise)
Elle voulait faire du cinéma
Changer de costume et d’endroit
Sans projecteur ni caméra
Elle reste plantée là
Dans la lumière des phares Alice traverse les envies
Ici c’est une star qui joue son rôle toutes les nuits
Et son public toujours qu’elle ne désire pas
Passe l’aimer tour à tour dans un grand vient et va
Elle voulait faire du cinéma
Changer de costume et d’endroit
Sans projecteur ni caméra
Elle reste plantée là
Dans la lueur du soir Alice ne sait pas qui est qui
Elle enroule ses bas noirs comme on déroule sa vie
Elle couvre l’abat-jour et découvre les draps
Puis elle vend de l’amour mais elle n’en a pas
Elle voulait faire du cinéma
Changer de costume et d’endroit
Sans projecteur ni caméra
Elle reste plantée là
Au pays des merveilles Alice ne rêve plus du tout
Les histoires de la veille ne sont que des comptes de fous
Elle sait qu’elle doit tourner pour la énième fois
Et c’est sur le pavé que le rideau tombera
Elle voulait faire du cinéma
Changer de costume et d’endroit
Sans projecteur ni caméra
Elle reste plantée là
Elle voulait faire du cinéma
Changer de costume et d’endroit
Sans projecteur ni caméra
Elle reste plantée là
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
Elle voulait faire du cinéma
Changer de costume et d’endroit
Sans projecteur ni caméra
Elle reste plantée là
Dans la lumière des phares Alice traverse les envies
Ici c’est une star qui joue son rôle toutes les nuits
Et son public toujours qu’elle ne désire pas
Passe l’aimer tour à tour dans un grand vient et va
Elle voulait faire du cinéma
Changer de costume et d’endroit
Sans projecteur ni caméra
Elle reste plantée là
Dans la lueur du soir Alice ne sait pas qui est qui
Elle enroule ses bas noirs comme on déroule sa vie
Elle couvre l’abat-jour et découvre les draps
Puis elle vend de l’amour mais elle n’en a pas
Elle voulait faire du cinéma
Changer de costume et d’endroit
Sans projecteur ni caméra
Elle reste plantée là
Au pays des merveilles Alice ne rêve plus du tout
Les histoires de la veille ne sont que des comptes de fous
Elle sait qu’elle doit tourner pour la énième fois
Et c’est sur le pavé que le rideau tombera
Elle voulait faire du cinéma
Changer de costume et d’endroit
Sans projecteur ni caméra
Elle reste plantée là
Elle voulait faire du cinéma
Changer de costume et d’endroit
Sans projecteur ni caméra
Elle reste plantée là
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
Il y a des mots qui s’accordent l’envie
Comme une saveur qui met en appétit
Il y a des mots compléments de l’ennui
Comme une douleur qui réveille l’insomnie
Il y a des mots aux lettres attachées
Comme une valeur à une autre ajoutée
Il y a des mots qui sont apostrophés
Comme une erreur qu’on met entre guillemets
Le temps est un mot
La vie est un roman
Qu’on écrit mot à mot
Quand on a le temps
Le coeur est un mot
L’amour est un roman
Qu’on lit mot à mot
Quand on est amant
Tant qu’il y aura des mots… Il y aura des gens
Il y a des mots à la douce écriture
Comme soufflés par l’écho d’un murmure
Il y a des mots cachés sous des ratures
Comme privés de la moindre lecture
Il y a des mots qui seront toujours là
Comme encadrés juste pour qu’on les voie
Il y a des mots et en marge et en bas
Comme isolés mais on n’en parle pas
Le temps est un mot
La vie est un roman
Qu’on écrit mot à mot
Quand on a le temps
Le coeur est un mot
L’amour est un roman
Qu’on lit mot à mot
Quand on est amant
Tant qu’il y aura des mots… Il y aura des gens
Il y a des mots qui ont besoin de virgules
Comme fatigués par ceux qui les bousculent
Il y a des mots qui n’ont aucun scrupule
Comme dictés pour tuer le ridicule
Il y a des mots qui rêvent qu’on les souligne
Comme pour briller par le verbe et le signe
Il y a des mots qui pourtant se résignent
Comme arrivés à leur point à la ligne
Le temps est un mot
La vie est un roman
Qu’on écrit mot à mot
Quand on a le temps
Le coeur est un mot
L’amour est un roman
Qu’on lit mot à mot
Quand on est amant
Tant qu’il y aura des mots… Il y aura des gens
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)
Il y a des mots qui s’accordent l’envie
Comme une saveur qui met en appétit
Il y a des mots compléments de l’ennui
Comme une douleur qui réveille l’insomnie
Il y a des mots aux lettres attachées
Comme une valeur à une autre ajoutée
Il y a des mots qui sont apostrophés
Comme une erreur qu’on met entre guillemets
Le temps est un mot
La vie est un roman
Qu’on écrit mot à mot
Quand on a le temps
Le coeur est un mot
L’amour est un roman
Qu’on lit mot à mot
Quand on est amant
Tant qu’il y aura des mots… Il y aura des gens
Il y a des mots à la douce écriture
Comme soufflés par l’écho d’un murmure
Il y a des mots cachés sous des ratures
Comme privés de la moindre lecture
Il y a des mots qui seront toujours là
Comme encadrés juste pour qu’on les voie
Il y a des mots et en marge et en bas
Comme isolés mais on n’en parle pas
Le temps est un mot
La vie est un roman
Qu’on écrit mot à mot
Quand on a le temps
Le coeur est un mot
L’amour est un roman
Qu’on lit mot à mot
Quand on est amant
Tant qu’il y aura des mots… Il y aura des gens
Il y a des mots qui ont besoin de virgules
Comme fatigués par ceux qui les bousculent
Il y a des mots qui n’ont aucun scrupule
Comme dictés pour tuer le ridicule
Il y a des mots qui rêvent qu’on les souligne
Comme pour briller par le verbe et le signe
Il y a des mots qui pourtant se résignent
Comme arrivés à leur point à la ligne
Le temps est un mot
La vie est un roman
Qu’on écrit mot à mot
Quand on a le temps
Le coeur est un mot
L’amour est un roman
Qu’on lit mot à mot
Quand on est amant
Tant qu’il y aura des mots… Il y aura des gens
(Auteur / Compositeur / Interprète)
(Jean Blaise / Alain Hymbert / Alain Hymbert)